Les démarches importantes face à la mort d’un proche

La mort d’un être proche constitue toujours un moment délicat et très douloureux à surmonter. Malgré cela, tant bien que mal, en plus de la douleur ajoutée au deuil, s’occuper des démarches organisationnelles et administratives reste une obligation.

Les démarches administratives

Les démarches administratives à suivre qui sont liées à un décès sont lourdes et complexes dans certains pays comme la France. Peu aiguillés et surtout désorientés par la perte d’une personne proche, la plupart des français ne savent pas vers qui se tourner ni quelles démarches entreprendre. En moyenne, 40 lettres doivent être transmises aux organismes compétents. Ceci se fait à des moments biens distincts, autrement dit de 7 jours à 6 mois après la déclaration du décès. Généralement, dans le plus commun des cas, il faut se procurer le plus tôt possible une photocopie de l’acte de décès sans oublier l’originale du livret de famille. Il faut aussi réclamer son certificat d’hérédité et se procurer la liste des différents documents administratifs, les différents comptes bancaires, contrats d’assurance et autres abonnements auxquels il avait souscrits. Il faut également les papiers mandatant des différents organismes auxquels il dépendait, que cela soit la sécurité sociale, sa caisse de retraite ou sa caisse d’allocation familiale par exemple. Il ne faut pas oublier l’un des plus importants qui est le carnet d’adresse capable de réunir le plus de personnes qui devraient être prévenues du décès.

Les autres frais obligatoires

Premièrement, il faut tout faire pour obtenir le certificat de décès par un médecin car ceci est la toute première chose que l’on doit faire. Si la mort est survenue à domicile, c’est le devoir du médecin venu sur place de s’en charger. Il s’agira du médecin de service si cela se passe dans un hôpital ou tout autre établissement de soin. Il faut noter que dans certains cas il possible de demander d’accéder au dossier médical du défunt. Lors du transport du corps ou lors de l’admission en chambre funéraires par exemple, il est nécessaire voire primordiale d’avoir ce document. Ensuite, en dehors du certificat de décès, il faut contacter aussi l’entreprise de pompes funèbres à laquelle le défunt avait confié l’organisation de ses obsèques en souscrivant à un contrat. C’est à vous qu’incombe ce choix au cas où le défunt ne l’avait pas. Bien que presque facultatif, il faut se procurer les informations qui sont relatives aux dons d’organes (regarder d’abord si la personne a sa carte de donneur). Après cela, se rendre à la mairie de la commune où le décès est survenu est nécessaire afin d’effectuer la déclaration de décès (si c’est dans un hôpital ce dernier s’en charge). Il faut décider aussi de la méthode choisie (inhumation ou crémation) si le défunt ne l’a stipulé nulle part, puis faire le point avec son assurance si une convention obsèques a été mis en place du la vie du défunt.

Les autres frais obligatoires

Ils participent aussi à l’organisation. Il y a le cercueil, une mortuaire pour recevoir les cendre dans le cas d’une crémation, la plaque d’identité, les porteurs du cercueil, le maître de cérémonie, le véhicule, la fondation et ouverture du caveau…