Troubles cardiaques, maladies cardio-vasculaires – Les facteurs à risques d’un accident cardiaque

Le bilan des arrets cardiaques et de sa prise en charge n’est pas des plus évolutifs. La situation médicale est toujours autant complexe à prendre en charge, et notamment par cette situation est subie par le patient sans signe de détection quelques jours ou heures avec un avc. Les zones de facteurs de déclenchement des artères coronaires bouchées dont dues à une exposition liée à des modes de vie de plus en plus à risque, tels que la qualité de la nourriture, le surpoids, certains types de consommation d’alcool ou des sports demandant des efforts poussés et dont les personnes outre passent les cadences d’exposition, notamment sur des sports extreme demandant un effort important du coeur qui n’est peut etre pas habitué à cette cadence. Des maladie liées à l’age et une notion d’héridité sont également des facteurs de risques accrus pour les personnes.

 

Les chiffres de taux de survie liés à un arret cardiaque sont avant tout une affaire de rapidité

La prise en charge par toute personne se trouvant confronté à une personne réalisant un arret cardiaque peut devenir rapidement une souce complexe pour la personne qui vit cela. Le choc est déjà le probleme majeur et la méconnaissance des premiers gestes de secours peut tétaniser la personne, qui peut sauver une vie. Se former aux gestes qui sauvent est donc un acte citoyen car chacun d’entre nous peut être  confronté, à n’importe quel moment de son existence, à un arrêt cardiaque. Les chiffres qui sont mis en avant par le ministère de la santé mettent en avant des éléments qui alertent sur la méconnaissance de la formation. La situation pour une personne qui vient de faire un avc a peu de chance de vivre dans 95 % de ces arrêts cardiaques sans prise en charge par une tierce personne. 7 fois sur 10, ces arrêts surviennent devant témoins, mais seulement 20 % des témoins vont faire les gestes de premier secours du fait d’une panique pour les personnes ne sachant comment faire. Or, 4 victimes sur 5 qui survivent à un arrêt cardiaque ont bénéficié de ces gestes simples pratiqués par le premier témoin. La rapidité de prise en charge peut etre un facteur positif, mais chaque minute compte dans ces conditions.

La survie des patients est par contre 4 à 5 fois plus élevée lorsque des défibrillateurs automatisés externes sont présent et où la population est formée aux gestes qui sauvent.

Les outils mis à disposition et obligatoire dans certains lieux de vie

La prévention et la rapidité demeure essentiel pour l’avenir du patient ayant subi un AVC. Des préconisations et des obligations au niveau de secteurs ou le public est présent ont été mis en place par l’assemblée nationale dans un texte de loi dédié à cette prévention. L’installation de Défibrillateur Automatisé Externe au sein des établissements recevant du public  sont fixés par un décret du Conseil d’État, visant des établissements de catégorie 1 et 2, c’est-à-dire ayant une capacité d’accueil de 701 à 1 500 personnes (catégorie 2) et de plus de 1 501 personnes (catégorie 1). Meme si ce n’est pas une obligation dans certains lieux publics, les maires ont voulu à travers ce sujet, faire installer des Défibrillateurs Automatisés Externes, dans un cadre de prévention au niveau de leurs administrés. Ces outils sont vendus auprès d’entreprises spécialisées, du fait de la complexité de la gestion du coeur, avec des sociétés comme La société Restenvie qui présente des produits technologiques adaptés.