Les évolutions du métier de banquier face aux clients

La politique des banques centrales depuis 2011 ont amené à ce que les banques aient une vision nouvelle sur leur business. La création par la  BCE de monnaies fiducières dans les circuits fermés des banques ont amené à une chute des taux d’interets dont certains pays sont en négatif sur oat à 3 ou 6 mois. Cette politique accommodante a permis de stabiliser les oat des états au détriment des banques et des épargnants qui ont vu fondre leurs marges pour les premiers, et leurs taux d’épargne redistribuées annuellement sur les second. Cette situation complique de plus en plus les marges opérationnelles des banques, du fait que la masse des emprunts réalisés au profit des entreprises, des ménages notamment sur de l’immobilier demeure totalement surréaliste avec des taux inférieur à 1 % sur 180 mois d’emprunt pour de très bon dossiers bancaires. Pendant ce temps, l’inflation est supérieure avec une explosion liée au Pétrole et des taxes imposées qui font que le taux est supérieur à 2% en France. Pour les banques ce déséquilibre a demandé depuis des années à chercher des sources de rentabilités et de marges ailleurs, notamment du fait de Bâle  2 et 3 qui organisent une meilleure soit disant garanties de leurs fonds propres. Les banques au niveau du département de gestion de profits ont surtout travaillé sur des sources de profits sur les matières premières, les actions porteuses, telles que les Gafa notamment (survalorisées et endettées telles que Tesla) sur des produits titrisés, sur des rachats de dettes d’état ou sont logés des risques, et d’autres produits présent dans le shadow banking. Tant que les rentabilités sont présentes, les profits sont importants, jusqu’au jour ou les marchés se retournent.

Les marges des banques se font sur le marché des comptes de dépots*

Afin d’assoir leurs autres profits, les banques de dépôts avec des réseaux d’agences physiques ont développé tout un tas de vente de prestations autres que leur métier de banquier à la base. On trouve de l’assurance, des prestations d’alarmes, des prestations de packs téléphoniques, des prestations d’épargnes en gestion pour compte etc… Ils ont également réévalué de facon importante les couts de prestations des activités bancaires sur compte avec une explosion depuis 3 ans. Ils ont réorienté également leurs politiques commerciales en lancant des banques en lignes permettant de capter des clients orientés tout internet et totalement autonomes dans le plan de gestion de leurs comptes. Ces concurrences ont mis à mal les marges des banques traditionnelles, mais elles ont des ressources pour rebondir. Face à cela, il est compliqué pour le consommateur de s’y retrouver. Des solutions telles que ce Site sur les banques en ligne permet une analyse de ce marché en totale mutation et permet aux consommateurs de comprendre la mécanique des banques, les prix pratiqués à travers de solutions de comparaison